22/08/2012

La Twingo ne démarre pas


La Twingo ne démarre pas

  1. Le démarreur tourne mais le moteur ne se lance pas.

Inutile d'essayer de démarrer au delà de 4 ou 5 essais : le démarreur est le moteur électrique le plus puissant d'une voiture et il vide la batterie en quelques dizaines de secondes...

En dehors des causes habituelles (bougies...) la Twingo à allumage électronique et injection (moteur D7F) utilise des capteurs qui calculent la vitesse du moteur, du ralenti, etc...
L'un de ces capteurs est la sonde PMH (Point Mort Haut) qui calcule le nombre de tours du moteur et règle le ralenti, empêchant la voiture de caler ou de s'emballer. Cette sonde comprend un aimant qui finit par se recouvrir de limaille de fer venue de son entourage. La sonde ne peut plus "compter" et la voiture ne démarre plus. Plutôt que la changer, on peut la nettoyer, mais, généralement, on a surtout besoin de démarrer... un coup de clé à molette ou marteau sur la sonde PMH suffit à la débarrasser d'un peu de limaille et la voiture démarre (un truc donné par un mécanicien Renault qui m'a sauvé alors que la Twingo était pleine pour un déménagement et que le dépanneur n'avait rien pu faire .) Par la suite, on aura a faire la même opération de temps en temps mais rien ne s'oppose à faire durer...


Où trouver la sonde PMH?

Capot moteur ouvert, face au moteur, la sonde est sur la droite, au dessus de la gosse durite.
On déconnecte la liaison électrique si on risque de la casser en frappant... Un ou deux coups secs de petit marteau sur la partie plastifiée identifiée en bleu sur la photo.

On pourra changer éventuellement la pièce (environ 40 euros chez Renault).
Note : Selon Dedecotech , ce genre de capteur est  présent sur les moteurs Renault   - 1,2 l: D4F, D7F, E7F.      - 1,4 l: E7J, K4J, E7J.     - 1,5 l: K9K     - 1,6 l: K4M, K7M.     - 1,8 l: F3P, F4P, F7P.     - 1,9 l: F8Q, F9Q.     - 2,0 l: F3R, F4R, F5R, M9R.     - 2,2 l: G9T.


 

19/08/2012

CREER UNE PARTITION pour sauver ses fichiers et dossiers importants

Tous Windows 98, XP, Seven, Eight
Le disque dur de votre PC est resté comme lors de sa livraison, prêt à fonctionner avec Windows avec 1 ou 2 mini partitions incluses permettant un sauvetage ou une réparation? 
Donc,  tous vos fichiers, films, créations sont sauvegardés sur la partition (partie) contenant Windows : c'est tellement simple de les sauver dans "Mes Documents" ou même sur le bureau...
Hélas, c'est très risqué car si Windows a un gros problème, sa réparation ou réinstallation future risque de vous faire perdre de nombreux fichiers personnels que vous aviez sauvés dans "mes documents", "mes images",etc...
Même le professionnel qui va "sauvegarder" vos fichiers avant un formatage ne le fera que partiellement et écrasera l'essentiel...
Rappel : le disque dur est la partie la plus fragile mais la plus importante de l'ordinateur. voir ici ou bien un test de "gros" disques durs ici

Solutions: 

  • Sauvegardez mensuellement vos fichiers Word, films, photos, vidéos, scans de documents sur un disque externe (ou un cdr ou dvdr si vous avez un graveur).
  • Créez sur votre disque dur d'ordinateur ,au plus tôt, une partition supplémentaire de STOCKAGE où vous pourrez sauver vos fichiers de grande taille (films), vos précieuses photos, etc...Ainsi, lorsqu'il faudra réparer Windows ou passer à un nouveau Windows ou autre choix de système sur la partition système, la partition STOCKAGE ne sera pas touchée et vos documents toujours accessibles.
SOLUTION 1 : Seven permet de créer, modifier des partitions existantes sans tout réinstaller. Toutefois, il lui arrive de décider lui-même que certaines tailles minimales ne peuvent être modifiées. Si l'on n'est pas trop exigeant, on pourra accepter le version seven qui, en gros, partagera le disque dur en 2 parties égales : 
  • la moitié pour la partition SYSTEME d'origine comprenant Windows et les logiciels et tout ce qu'on voudra y mettre
  • l'autre moitié pour une nouvelle partition de STOCKAGE qui hébergera les fichiers d'archives, photos... 

Pour cette procédure, on se référera à la première partie de  cette procédure souvent proposée dans les recherches. 
Note : En cas de pc déja utilisé et bien rempli, on déplacera les grosses videos ou les grands dossiers de photos dans un disque externe et on les remettra sur la partition de stockage après opération.

  •   intégré à Windows Seven, en français, faible difficulté


  •  quand le disque dur fourni sur l'ordi est gros, comme c'est le cas la plupart du temps depuis 2008-2009, on regrettera que la moitié du disque soit réservé par Seven à la partie SYSTEME qui pourrait largement se contenter de 100 ou 200 gigas. En revanche, on aimerait que la partition STOCKAGE soit le plus étendue possible car les films, photos prennent de plus en plus de place.





SOLUTION 2 : présent en téléchargement gratuit, utilisation gratuite sur télécharger.com et autres sites sérieux, EASUS PARTITION MANAGER permet de paramétrer entièrement la taille qu'on souhaite laisser à la partition d'origine (SYSTEME) soient environ 100g° et d'attribuer tout ce qui restera à la nouvelle partition STOCKAGE. Les partitions réservées par le constructeur pour la réinstallation de windows ne seront pas affectées si on a soin de ne pas y toucher.


  • la souplesse est totale, 
  • le logiciel prévient (en anglais) quand on risque de faire une bêtise
  • on pourra renommer par la suite dans windows les partitions obtenues mais on évitera de changer la lettre de la partition SYSTEME (C, en général) pour ne pas géner le démarrage de windows.
  • le logiciel fonctionne aussi avec les  Windows 98 et XP qui ne géraient pas d'origine le partitionnement après installation
  • en anglais


  • Note : En cas de pc déja utilisé et bien rempli, on déplacera les grosses videos ou les grands dossiers de photos dans un disque externe et on les remettra sur la partition de stockage après opération.
  • Par la suite, on aura soin de sauver mensuellement ses photos, films ... dans des dossiers créés sur le "nouveau" disque créé, car Windows considérera que la nouvelle partition apparaîtra bien comme si elle était un nouveau disque avec sa lettre dédiée.  Elle apparaîtra dans  les explorateurs de disques et autres explorer de windows. On y créera autant de dossiers qu'on voudra, et éventuellement leurs raccourcis qui iront dans le dossier "mes documents" ou "bibliothèque" du disque C (Système) du PC.
  • On n'oubliera pas de sauver mensuellement une copie des fichiers sur un disque externe USB, par gravure ou en ligne, ou les deux. Un disque dur USB pourra même rester à la maison pour les archives : peu utilisé, immobile, il durera plus longtemps... Un disque dur n'est pas éternel : sur un ordi utilisé fréquemment, certains craquent au bout de 2ans et parfois moins et donc :
  • on pourra tester la santé de tous les disques durs, installés ou mobiles, avec  CRISTAL DISK INFO (gratuit aussi)


liens cités en cas d'impression papier de l' article

15/08/2012

SITGES < Catalogne < Espagne < Europe Hotels & Restaurants testés

EUROPE > ESPAGNE > CATALOGNE > SITGES    
>> texte original complet & actualisé <<

Station balnéaire de Barcelone, SITGES a gardé un front de mer bâti de villas cossues accolées, d'hôtels peu élevés puis, en suivant le bord de mer, de villas indépendantes stylées et nouveaux hôtels plus spacieux. Seules les habitations au nord, en partie sur une falaise peuvent présenter une façade moins jolie mais, pour le centre ville, c'est un plaisir de regarder les façades en se baignant.

La ville était connue pour héberger le repos dominical des familles barcelonaises aisées mais pas  seulement : Wikipedia raconte bien son histoire et il serait inélégant de le recopier. Les fils de famille y ont commis leurs turpitudes à l'écart de lBarcelone mais Sitges se serait aussi transformée petit à petit avec l'arrivée de millionaires américains, des hyppies et autres noceurs sans oublier les vignerons expatriés à Cuba qui reviendront dépenser leur argent ici, les peintres qui y ont même initié une "école" ( l' école luminista)...
Ainsi, le catalan qui a créé le rhum Bacardi à Santiago de Cuba : un "musée" Bacardi à Sitges propose une visite des cuves antiques de la marque et des alcoolisations pédagogiques pour seulement 7 euros : on y apprend à composer des cocktails (lol)...
Cuba est encore présente dans de nombreux endroits  et noms de rues :  Islas de Cuba, Matanzas, Pinar del Rio... mais aussi des azulejos (céramiques) représentant l'île de Cuba. Los cubanos vont alors se faire construire un ensemble de résidences qui font maintenant le charme de cette station balnéaire. Ces résidences reprennent les éléments architecturaux cubains de l'époque  et notamment le style colonial qui peut surprendre ici.
Les années soixante dix ont vu un des quartiers accueillir une colonie hyppie puis gay avide de vacances au soleil dans un affichage ponctuel de sa différence que n'autorisait certainement pas le reste de l'année passé à  Fribourg, Limoges ou Madrid. Une sorte d'Ibiza continentale prouvée par l'installation du Pacha Club, frère du mythique Pacha Club d'Ibiza . La ville est encore aujourd'hui envahie l'été de garçons et filles homosexuels qui semblent unanimement acceptés dans les hôtels, restaurants et autres pensions. : beaucoup de "looks" avec plus de classe que chez l'ennuyeuse Marbella  qui semble bien ringarde en comparaison avec son bling bling peu inventif.

L'autre clientèle historique de sitges est plus sage car nombre de catalans ont pris sur place leur retraite, accueillant les enfants et petits enfants.
Les sites de location et de voyage ont fait le reste pour cette station peu éloignée de l'aéroport de Barcelone(El Prat est à 15km), une situation en Espagne qui lui permet également d'être très accessible en voiture pour les français et autres européens, une façon idéale d'y arriver entre amis en se garant à l'extérieur du centre.
La popularité de Sitges sera définitivement installée au moment des Jeux olympiques de Barcelone .

Les Catalans, auxquels on ne manque pas d'attribuer ailleurs en Espagne de nombreux défauts, se révèlent sur place d'une grande gentillesse et il est bien facile d'engager la conversation pour parler de la météo ou demander un renseignement. On tolérera malgré tout que certains ne se sentent pas au service de cet arrivage migratoire des beaux jours et préfèrent rester à l'écart.

Les tarifs pratiqués sont en général plus élevés qu'aux alentours  (voir Wikipedia.) tout du moins en ce qui concerne l'accession à la propriété.
Toutefois,  la mixité des populations, la douceur de vivre ici, la tolérance et la bonne volonté de l'accueil font que chacun pourra apprécier Sitges.

Il en est de même des plages ou alternent adolescents entre eux, familles autour du parasol, retraités au bord du paseo ou enclaves naturistes réunissant les fans de toute orientation sans autre ostracisme que le goût du soleil et de la méditerranée.
Question tolérance, qu'on se souvienne à l'occasion qu'il n'existe à Barcelone aucune loi obligeant au port d'un vêtement et qu'un vieil homme fort connu de son quartier n'a pas revêtu la moindre parure ces trente dernières années.

La situation de la ville, l' inspiration des artistes qui la choisirent, les dépenses des catalans qui revinrent après avoir fait fortune, les marginaux qui ont pu s'y installer : Sitges s'est formé ces derniers siècles une identité que l'on peut retrouver en la parcourant, bien davantage qu'une seule vocation tardive de station balnéaire...

HOTELS



Hotel Galeon,                    2012 Août

 Hotel 3étoiles, San francisco  46-48, 08870  Sitges
766€ la semaine en Août 2012 en chambre double pour 2 personnes incluant le petit déjeuner international. piscine. climatisation. SDB. 4ème étage et terrasse sur rue piétonne plein sud.

 “Service agréable, charme caché, stationnements à 600m”

4 5 étoiles Avis écrit le 9 août 2012 
  1. La première bonne surprise est de pouvoir stationner gratuitement la voiture (vide, évidemment) à quelques centaines de mêtres dans les zones résidentielles au nord du rond point d'arrivée : inutile de se perdre pour arriver avec devant l'hôtel, c'est impossible! 
  2. Le GPS en mode piéton, on descend ensuite facilement les valises à roulettes vers l'entrée de l'hôtel. 
  3. L'accueil est agréable, la chambre double est jolie bien qu' envahie par les lits réunis : en les séparant, on obtient un double et un simple et on peut enfin se déplacer. 
  4. Le wifi est impeccable à tous les étages avec une identification personnelle offerte, les terrasses donnent sur la rue piétonne ou sur une cour intérieure et offrent des volets métalliques de protection... 
  5. Les journées sont assez calmes mais les retours de discothèque en milieu de nuit, les portes qui claquent, les râles évocateurs sont légion : comme partout dans le monde de 2012, le voyageur non voyeur aura ses bouchons d'oreilles pour trouver le calme. 
  6. Piscine petite mais agréable et calme sauf lors de réunions de bavardes, petits oiseaux et palmier, chaises longues tressées et plastiques bas, coups d'oeils intéressés mais pas oppressants, ambiance parfois romantique... 
  7. Petit déjeuner servi jusqu à midi, pantagruélique : qualité des produits, choix énorme, café assez bon, eaux minérales et autres bloody mary et pim's au cava. 
  8. Thé et pâtisseries locales dès 15h00 au salon et même un diner à moins de 10€ en soirée sur place. 
  • Non les réfrigérateurs ne s'arretent plus quand on sort, 
  • oui les téléphones mobiles ont tendance à démagnétiser les cartes de chambre, 
  • oui la clim est discrète et réglable,
  • non les coffres forts ne sont plus en supplément mais électroniques et un peu capricieux, 
  • non la télé n'est pas vraiment satellitaire et fournit seulement une quinzaine de chaines en basse qualité vidéo en son mono sur des LCD de 26 pouces : france 24 et tv5 pour les francophones. 
  • Pas d'heure affichée en chambre et nécessité d'occulter la led de veille de la TV qui tient lieu d'éclairage la nuit. 
  • Dans les communs, deux salons accueillent dans des canapés cuir les surfeurs connectés, un salon télé offre des bergères pour l'heure du thé ou du journal, une bibliothèque polyglotte pour bestsellers et magazines, un personnel vraiment charmant comprend tout ce qu'on lui demande et une sortie en plein centre ville.
  • A chaque questionnement, le personnel revient vers vous pour la réponse. 
Note : le diner du soir à moins de 10 euros est une très bonne affaire qui a l'heur de réunir des populations branchées. Ideal pour connaître les dernières tendances de la mode chez ceux qui dépensent plutôt pour le look que pour le cook. Fascinant et agréable.


Hôtel  SUBUR MARITIM  Best Western                  2011 Août


Paseo Maritimo s/n | Esquina Paseo Doctor Benapres, 08870 Sitges, Espagne

“Hotel impeccable, reposant, calme, sur la plage, mais attention à la réservation”
Non les prix n'ont pas baissé malgré la crise ce qui limitera sans doute l'accès à cet hôtel très agréable. Situé très en dehors du centre ville, l'occasion d' agréables marches sur le front de mer en admirant les villas de toutes époques et les plages se succédant sous formes de petites baies, le Subur Maritim ne doit pas être confondu avec son quasi homonyme le Subur du centre ville. Ici tout est calme, presque luxueux, choisi pour le design, bien présenté. La piscine est esthétique, entourée de gazon et bordée d'un bar très calme en journée. On pourra regretter la qualité de certaines chaises longues un peu trop recouvertes de peinture pour cacher leur vétusté et l'attitude de certain client qui s'offusque que la place habituelle de son aïeulle ait été prise en toute liberté par un autre client. Oui, la clientèle est un peu âgée et aimerait retrouver ici un temps où il y avait certes moins de libertés mais davantage de privilèges. Le propriétaire qui gère les 2 Hôtels a visiblement 2 clientèles différentes et il nous a semblé qu'une "erreur de réservation malencontreuse" nous avait injustement fait emménager ici alors que les coûts annoncés par le site de location nous destinaient à l'hôtel homonyme de centre ville. Un accord tardif nous laissa malgré tout goûter 2 nuits au charme du Subur Maritime, de son breakfast impeccable, de ses balcons vastes et aux panoramas charmants, aux chambres parfaitement lookées et aux salles de bains assez réussies. Un hôtel à réserver à ceux dont les soirées raisonnables permettent de garder un peu d'énergie pour le long retour du centre ville. Aucun restaurant notable dans les parages. Personnel impeccable sur place mais n'importe qui vous répondra au téléphone pour vous assurer, avant votre arrivée, que tout est prêt pour vous, ce qui se révèlera mensonger.

RESTAURANTS



Restaurant Casa Sevilla     2012 Août

Espalter, 13, 08870 Sitges, Spain

Trouvé au hasard des déambulations, un soir où rien ne nous tentait parmi les poulets rotis servis à la chaine, les restaus selects exorbitants et déserts, les terrasses bondées de fashionnistas, la Casa Sevilla nous a vite rendu l'appétit avec son menu complet à 15euros et sa carte limitée : quelques entrées, quelques plats principaux, boisson et dessert compris.
Installés sous une clim, nous avons facilement pu changer de place car il n'était que 21h et l'ambiance bien sage. 
Une salade honnête mais surtout une intéressante fideua en entrée : vermicelles cuits en bouillon de fruit de mer et encre, morceaux de sèche et crevette, ailloli... Populaire et délicieux. 
Bien que les boulettes et autres viandes semblent voir du succès, nous avons choisi une dorade : elle était servie ouverte, poêlée à plat, un mélange de surface croustillante et de chair tendre et juteuse. Une très bonne surprise, à déguster en appréciant les arrivées des clients connus des patrons reçus comme des amis, les attentions d'un personnel chaleureux ou sérieux, amical ou pédagogue et une salle qui se remplit bien vite vers 22h en semaine Une crème locale pour dessert, sorte de catalane non brûlée en bonne portion et voilà un diner agréable et savoureux, sans prétention mais pas international pour deux sous, arrosé de vin rouge honnête servi frais en carafe et compris dans le menu. Des gens charmants et attentionnés.

Note : un vendredi soir, beaucoup plus de monde, un peu moins d'attentions mais un invité de plus enthousiasmé : une entrée de riz "cubain" basique à base de riz blanc servi avec oeuf au plat et jambon grillé. Surtout des parts de dos de saumon grillés conseillé pat notre hôtesse qui ont fait l'unanimité. Un vin blanc en pichet agréable sans plus et un menu différent. Une bonne chose même si on a préféré l'ambiance en semaine.

Restaurant  Boccalino     2011 Août


Verge del Pilar, 24, 08870 Sitges, Espagne
“Populaire, sympathique, clientèle variée et cuisine honnête”4 5 étoiles
Les prix peuvent convaincre de s'installer même si l'endroit n'est pas le plus touristique. En bordure de zone piétonne, on boit un verre en terrasse sur la placette et on parcourt une carte où chacun trouvera son goût : espagnolades ou plats universels, fritures ou riz, toute une cuisine assez familiale qu'il faudra alterner de salades pour rester raisonnable. Boissons raisonnables également. Le restaurant favori de certains, tellement la clientèle en groupe peut mettre de l'ambiance ou étonner. Le spectacle des passants est divertissant gràce aux larges vitrines. Une halte qui ne ruine pas même si les plats sont peu originaux. Service sympathique, bon enfant, comme on l'aime quand on aime cette région formidable.
Note : une nouvelle équipe arrivée en 2012 semble moins séduire.

Restaurant Wok Palacio Oriente    2011 Août


8 Calle Santa Tecla, 08870 Sitges, Espagne
4 5 étoiles
Un buffet où tout est en libre service, tout compris hors boisson et des préparations sans défaut : fritures très fraiches et peu huileuses, fruits de mer préparés récemment, volailles, viandes marinées à agencer avant ou après une assiette de wok qui se révèle finalement la partie la moins intéressante, comme les desserts d'ailleurs. Mais un bon souvenir de cette profusion de crudités, fritures, mets relevés et d'une grande fraicheur. Le concept est récent et à découvrir en vacances si on en est privé autour de chez soi. Ambiance un peu animée et bruyante en salle climatisée mais quelques tables en extérieur sur une rue piétonne sans grand intérêt. Rapport qualité prix imbattable quand on a très faim.

Restaurant Buenos Aires    2012 Août


21 C/ Port Alegre, 08870 Sitges, Espagne 938 112 344
Site Web            “Bien placé, service sympathique et viandes délicieuses”
4 5 étoiles 
Les tarifs semblent un peu élevés mais on peut trouver de bonnes affaires comme les fajitas à faire soi même avec les sauces, les crêpes séparées... Un verre de vin et la soirée commence bien en regardant le spectacle du bord de mer où défile toute la population locale et en villégiature. Finalement un restaurant où nous revenons une fois entre amis à chaque vacance.



Restaurant NEM,  

Illa de Cuba, 9, 08870 Sitges
“Des excellentes critiques un peu trop flatteuses. C'est pas mal pourtant...”  2012 août


Une certaine unanimité des critiques sur ce restaurant qu'il fallait à tout prix découvrir, à l'écart des rues fréquentées et bien supérieur à ce qui se fait en tapas à Sitges... Nous y sommes allés à 3 personnes sur ma proposition ce samedi soir. 21 h et seulement 8 personnes attablées, pourtant le maître des lieux nous conduit en fond de salle, à une table isolée. Une table était vide dans l'entrée (et le restera) mais nous la pensons réservée à d'autres et n'insistons pas : nous avons eu tort !
La carte est minimale mais malheureusement proposée en catalan ou en ...anglais ! Quelle langue est moins utilisable pour décrire des plats que l'anglais? Cette carte est en tous points celle déja affichée par un autre critique ici même dans une langue mieux adaptée à la gastronomie.
La serveuse nous explique ce que sont les nems, ce que 80% de la planète doit connaître mais c'est ici la sensation du moment. Deux d'entre nous en commandent, je préfère un plat parlant de peppers, tomatos etc... Les nems se révèleront au standard habituel mais seulement au nombre de 2 et la tartine de poivrons et tomates agréable avec sa couverture de "jeunes pousses" et copeaux de fromage sec. Bien que l'endroit se présente comme un restaurant de tapas, la serveuse nous proposait ensuite un "plat principal" : nous avons fait le choix de "chicken" et de "cuddle fish" : des beignets de vrai poulet appétissants mais avec mayonnaise blanche et de la seiche dans une sauce au curry vert assez réussie mais à la présentation peu flatteuse. La carte des boissons ne propose que des vins dont un seul rosé, à des prix raisonnables en bouteille. Celui qui choisira un vin blanc au verre ne sera taxé que de 2€50, ce qui est bien raisonnable. Malheureusement, à mesure que le repas avançait, seule la chaleur ambiante montait car l'ambiance restait désespérément plate : les quelques autres clients étaient à 20 mètres de nous, personne le long de ce bar immense et aucune climatisation dans notre partie. Nous avons constaté en partant que la partie ouverte sur la rue était en revanche climatisée, un choix étrange même si la météo était plutôt à l'orage ce soir là. En guise de dessert, l'un d'entre nous opta pour un tapa parlant de chocolat qui se révéla savoureux et léger. Une addition pas trop élevée et nous avons de nouveau retrouvé un peu de fraicheur en sortant. Mauvaise communication avec les serveurs? Attitude trop réservée et timide du personnel à la prise de commande, se référant uniquement à la carte proposée sans mentionner les bières au verre ou autres possibilité? En tout cas, nous n'avons pas compris ces critiques excellentes sur un restaurant qui hésite entre tapas et cuisine, entre raffinement et service pas assez expérimenté. Quant aux lieux déserts un samedi soir d'aout vers 21heures, c'est étrange...


12/08/2012

L'homme de Lewis,Peter MAY, roman - - - Archives 2008 : Les Disparues De Shanghai

Peter May, L'Homme De Lewis             Aout 2012



Peter May est l'auteur d'une jolie série chinoise qui mettait en action un policier chinois qui devait composer avec sa hiérarchie tout en entretenant une liaison avec une américaine exilée venue en Chine pour y échanger des connaissances sur la médecine légale. Les disparues de Shanghai était chroniqué sur ce même site en 2008 et on retrouvera ce texte ici en fin de page.

"L'homme de Lewis" est un roman beaucoup plus mûr du même auteur ,  livre paru et traduit beaucoup plus récemment. Peter may y fait intervenir un héros récurrent d'une nouvelle série, écossaise cette fois : Fin McLeod.
Après des déboires dramatiques, mcLeod retourne sur l'île Lewis, des hébrides écossises,qui l'a connu enfant,. Le retour peut sembler rude puisque Fin ML installe une tente dans les ruines de l'ancienne maison familiale sur cette île peu épargnée par le vent, la pluie... Il y retrouve son amour de jeunesse dont le père Tormod est atteint d'alzheimer et le frère a du mal à s'installer avec son amie a qui il a fait un enfant...
Voila qu'on retrouve dans les tourbières le corps d'un homme mort il y a plusieurs décennies. En retrouvant son identité, il apparait que Tormod est le principal suspect : comment pourrait-il se défendre alors qu'il ne se souvient pas de ce qu'il a fait l'heure précédente?
Fin mc Leod va enquêter sur la presqu'île voisine d'où est originaire le vieil homme et essaiera de retracer le parcours lointain et tortueux de cet homme, rappelant ainsi le sort que réservaient les autorités écossaises aux orphelins qu'on envoyait sur ces îles comme main d'oeuvre.
Le récit est formidablement réparti entre les impressions et souvenirs que Tormod ressasse et la narration de l'enquête de Fin. Les atmosphères sont intéressantes, la géographie des lieux une découverte, les évolutions amenées avec intelligence, les caractères des personnages fouillés et particuliers.
Une réussite qui est un retour de cet auteur à sa région natale et un témoignage de sa formidable évolution d'écrivain.

L'homme De Lewis  / Peter May   
Prix : 20.00 € /    ISBN : 978-2-8126-0253-5     Sorti le : 12/10/2011



21 octobre 2008 

Peter May, Les disparues de Shanghaï

Quand on retrouve des corps de femmes démembrées dans un chantier à Shanghaï, on a vite fait de se rendre corps que les corps ont déjà été "ouverts" comme lors d'une autopsie et il leur manque de nombreux organes. Vol d'organes destinés à la revente? Ce serait trop simple : en effet, tout semble avoir été fait pour garder en vie le plus longtemps possible les pauvres victimes alors qu'il est habituellement possible de prélever des organes post-mortem.
Voilà le postulat de départ de cette enquête où l'on retrouve le policier pékinois ( pékinois de Pékin, pas le chien!) Li Yan et l'indomptée légiste américaine Margaret qui refuse toujours de se faire aux us et coutumes locales. Comme ce serait trop simple de les laisser s'envoyer en l'air comme ils avaient commencé à le faire dans les opus précédents, Peter May a cru bon de rajouter une séduisante enquêtrice chinoise qui a tout pour faire revenir le beau Li vers des amours chinoises.
Hélas, il devient vite lassant de voir les deux femmes se chamailler pour passer au "Li", entre les piques acerbes, les souleries de l'Américaines, les problèmes de yin et Yang de la chinoise et les hésitations de collégien du chinois qui se rappelle les bon coups avec l'une et est prêt à se laisser tenter par l'asiate.
l'enquête va de rebondissements en évolutions , naviguant entre les pressions politiques et la gymnastique intellectuelle compliquée à laquelle il faut se livrer dans une Chine héritière du passé mais pressée de s'enrichir ( on est en 2000).
Comme souvent dans un polar bien fait, le lecteur avait la possibilité de trouver la solution assez tôt mais ce n'était pas évident et on ne peut précéder les enquêteurs que de quelques lignes ou pages. Il reste que tout ceci est bien convenu et qu'on a lu ou vu beaucoup plus trépidant et angoissant comme enquête se déroulant en chine.



Il serait injuste de le comparer avec le magnifique
"Le tigre blanc" de Robert Stuart Nathan .




Dans "Les disparues de shanghaï", on reste dans l'ambiance polar classique. Pourquoi ne pas alors revenir au premier opus de la série que je conseillerais plutôt :
MEURTRES A PEKIN de Peter May , éditions du Rouergue, qui a l'avantage de nous faire découvrir les personnages. Ici encore, les "suites" ne valent pas le premier livre.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Tigre_blanc
http://totalybrune.canalblog.com/archives/2012/06/11/24465984.html


04/08/2012

A l'étranger, je me déconnecte de la 3G...

Les offres alléchantes des fournisseurs et les possibilités des smartphones nous ont habitués à une connexion permanente aux réseaux de données (datas) plus où moins liés à internet. Même sans jamais aller sur le net, notre iphone, androîd ou autre Nokia Symbian aime à se connecter en liberté (météo, etc...) et chacun aura pris un abonnement en conséquence et géré les tarifs : les nouveaux abonnés devront quand même se méfier  mais tout ceci est à peu près géré après les très mauvaises surprises de factures hallucinantes obtenues par certains en regardant la télé sur un mobile orange, par exemple. La loi est d'ailleurs passée par là.

A l'étranger, en revanche, il faudra se méfier car nombre de fournisseurs ne vous préviendront par mail qu'à partir de 60 euros de consommation data, par exemple chez freemobile. Que faut-il faire pour éviter ces déconvenues?

  • Les voyageurs sans besoin d'être joints en permanence par appel ou sms basculeront tout simplement leur smartphone en mode "avion". Généralement une pression sur la touche de mise en route/arrêt du téléphone donne accès à un menu de choix. Sinon, on choisira dans les profils. 

    • Résultat : pas d'appels reçus ni passés, pas de sms reçus ni envoyés, pas de consommation data internet. La photo, la video, le mp3 fonctionnent ainsi que la navigation GPS pour peu que la carte du pays de villégiature ait été chargée avant de partir. Le wifi est actif ou non suivant les appareils mais c'est gratuit à l'hôtel.

  • Les touristes désirant conserver les appels téléphoniques et sms resteront en mode connecté mais désactiveront les "échanges de données" ou " données par paquets". Chaque appel envoyé ou reçu, chaque sms envoyé ou reçu sera surtaxé mais on peut gérer. Le wifi restera non modifié, il pourra être utilisé à l'hôtel ou en accord avec certains accords de fournisseurs. Les propositions des fournisseurs locaux de couverture mobile arriveront par légion par mode de sms incluant les tarifs...

Avant de partir :

  • parcourir le mode d'emploi du phone

  • vérifier les détails de notre abonnement mobile

  • télécharger les cartes nécessaires pour les déplacements GPS en utilisant le wifi de la maison ou la 3G si elle inclut ce genre de chargement.