Le ministère de la justice a déjà demandé 2 fois l'effacement des vidéos de caméras de surveillance
niçoises le soir du 14 juillet. Motif :pour éviter une éventuelle fuite et une diffusion traumatisante. Et c'est bien de la France qu'on parle ! D'accord, les sources sont 20 minutes, Le Figaro et Nice Matin, mais quand même...
Alain Lacour
sources :
niçoises le soir du 14 juillet. Motif :pour éviter une éventuelle fuite et une diffusion traumatisante. Et c'est bien de la France qu'on parle ! D'accord, les sources sont 20 minutes, Le Figaro et Nice Matin, mais quand même...
Alain Lacour
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ATTENTAT DE NICE Après
une demande orale le lendemain de l’attentat, une réquisition
judiciaire aurait été envoyée à la ville de Nice selon « Le Figaro » et
« Nice-Matin »…
Selon Le Figaro,
la sous-direction antiterroriste a ordonné à la mairie de Nice, en
s’appuyant sur le Code pénal, la destruction de 24h d’images provenant
de six caméras, et de tous les passages depuis le début de
l’attentat sur la Promenade des Anglais, le 14 juillet au soir.
>> A lire aussi : Attentat de Nice: Comment était sécurisée la promenade des Anglais le soir de l'attentat?
Selon Nice-Matin, la demande avait été verbalisée dès le lendemain auprès du centre de supervision urbain de Nice. Celui-ci supprime normalement automatiquement au bout de dix jours les images qu’il possède, mais la loi permet de les conserver jusqu’à un mois après. L’avocat de la mairie, joint par le quotidien local, a déclaré qu’« afin de ne pas hypothéquer les éventuelles autres procédures qui pourraient voir le jour au-delà de l’enquête antiterroriste en cours », il a demandé la mise sous séquestre de ces images.
Selon le parquet de Paris, cité par Le Figaro, la raison invoquée est d’« éviter la diffusion non contrôlée et non maîtrisée de ces images ».
Nouvelle polémique en vue. >> A lire aussi : Attentat de Nice: Comment était sécurisée la promenade des Anglais le soir de l'attentat?
Selon Nice-Matin, la demande avait été verbalisée dès le lendemain auprès du centre de supervision urbain de Nice. Celui-ci supprime normalement automatiquement au bout de dix jours les images qu’il possède, mais la loi permet de les conserver jusqu’à un mois après. L’avocat de la mairie, joint par le quotidien local, a déclaré qu’« afin de ne pas hypothéquer les éventuelles autres procédures qui pourraient voir le jour au-delà de l’enquête antiterroriste en cours », il a demandé la mise sous séquestre de ces images.
Selon le parquet de Paris, cité par Le Figaro, la raison invoquée est d’« éviter la diffusion non contrôlée et non maîtrisée de ces images ».
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